Donner son corps à la science : l'ultime don de soi
Donner son corps à la science permet d'aider les étudiants à devenir les médecins de demain et de contribuer à la recherche.
Après la mort, il est possible de rester utile aux autres et de sauver des vies.
Donner son corps à la science, c’est encore faire preuve de générosité et d’altruisme.
Ce geste, quelle qu’en soit la motivation, mérite le plus grand respect.
Donner son corps à la science sauve des vies.
Pas directement, comme pour le don d’organes, mais de manière plus indirecte : cette décision aide, en effet, la pratique médicale et la recherche.
Concrètement, le don de corps permet aux étudiants et étudiantes en médecine de parfaire leur connaissance de l’anatomie du corps humain, base indispensable de toute pratique médicale de qualité.
Il permet également d’apprendre et de répéter les gestes chirurgicaux précis, de mettre au point de nouvelles techniques chirurgicales et de s’y former.
Donner son corps à la science permet d'aider les étudiants à devenir les médecins de demain et de contribuer à la recherche.
Donner un organe (un cœur, un rein, un foie…), c’est sauver une vie immédiatement.
C’est également un acte parfaitement compatible avec le don de corps. Le don d’organe est logiquement toujours prioritaire, mais une fois l’organe prélevé, le corps du donateur peut être légué à la science.
On peut décider de donner ses organes et son corps, ou de faire seulement don de son corps à la science. C’est un choix personnel qui, quel qu’il soit, mérite le plus grand respect.
Toute personne adulte peut entamer les démarches à n’importe quel moment de sa vie.